Les méthodes du G1000

Phase 3 : Panel citoyen

Échantillon | Méthode | Dates | Documents

 

Échantillon

Les participants de la troisième phase ont été tirés au sort parmi une liste de 400 candidats. Tous ont participé au Sommet citoyen G1000, au G-Offs ou au G-Home.

Provinces

Anvers: 5

Limbourg: 3

Flandre Orientale : 3

Flandre Occidentale: 3

Brabant Flamand: 5

Brabant Wallon: 1

Namur: 2

Liège: 3

Hainaut: 4

Luxembourg: 1

Bruxelles Capitale: 2

 

Langue

Francophones: 12

Néerlandophones: 18

Germanophones: 2

Sexe

Femmes: 16

Homme: 16

Formation

Secondaires: 12

Ecole supérieure: 8

Universitaire: 12

Âge

- 30 ans: 7

30 – 45 ans: 9

45 – 60 ans: 9

60+: 7

Plus jeune participant : 19

Plus vieux participant: 66

 

 

Méthode Phase 3 : Panel Citoyen

La deuxième phase du G1000 avait pris la forme d’un sommet citoyen: un grand événement dont les buts étaient de faciliter la mise en commun, le partage des idées et l’élaboration de propositions. Étant donné que le temps imparti pour chaque sujet était relativement court et que le but était d’explorer la diversité des opinions autour des tables, les idées et propositions furent, de ce fait, assez basiques. C’est pourquoi, la troisième phase du G1000, sous la forme d’un panel citoyen, a eu comme objectif d’approfondir ces propositions et d’aboutir à des recommandations concrètes. Durant trois week-ends, 32 citoyens ont travaillé pour rendre un avis motivé à la fin du processus.

 

 

Ces 32 citoyens ont été sélectionnés de manière aléatoire parmi les 491 participants du G1000, G-Offs ou G-Home qui s’étaient portés candidats pour participer à la troisième phase, malgré l’engagement non négligeable demandé de participer à chacun des trois week-ends. Les 32 ont été tirés au sort en respectant les critères du sexe, de la langue, de la région et de l’âge, afin que le panel soit le plus diversifié possible.

 

La troisième phase du G1000 a consisté en un panel citoyen (parfois également appelé « conférence de consensus »), soit une méthode délibérative souvent pratiquée à travers le monde. Une telle forme de processus délibératif est beaucoup plus intense et requiert beaucoup plus de compétences de la part des modérateurs, afin de permettre aux participants de proposer des pistes et actions concrètes. Le processus permet aussi une plus grande flexibilité que lors d’un sommet citoyen, du fait que les participants ont plus leur mot à dire sur le processus lui-même. En effet, les citoyens décident de ce dont ils souhaitent discuter précisément (par exemple, ils choisissent les questions spécifiques qu’ils souhaitent aborder), la manière dont ils souhaitent travailler (par exemple, ils choisissent les experts et les personnes-ressources avec lesquels ils souhaitent échanger et à qui poser leurs questions). Et puis surtout, ils décident de ce qui sera retenu au final et porté dans le débat public.

 

 

Dates

Le panel citoyen s'est réuni trois week-ends:

  • 14-16 septembre 2012: Parlement Flamand, Bruxelles
  • 6-7 octobre 2012: Parlement Wallon, Namur
  • 9-11 novembre 2012: Maison des Parlementaires, Bruxelles

 

Documents

Briefing phase 3

Dossier de presse 14/09/2012

Dossier de presse 06/11/2012